La visite surprise

Elle se promène, profitant du ciel bleu azur et de la froideur polaire, pour faire une escapade jusque chez toi. 

Et pouvoir entrer en bas de l’immeuble sans t’appeler, une gentille dame lui a tenu la porte quand elle l’a vue.

L’ascenseur ... c’est long toute seule mais l’excitation monte et arrivée à ton étage, elle est encore plus excitée.

Elle a encore froid de son après-midi shopping mais il faut bien savoir faire des surprises.

Même si en appuyant sur la sonnette, elle a une montée d’adrénaline, elle s’interroge « Et si tu n’aimes pas les surprises ? ».

Elle t’entend parler, ta voix s’approche de la porte, tu ouvres, tu ne parles plus en ouvrant les yeux grands. On dirait un héros de dessin animé : yeux qui sortent, langue pendante, cœur qui bat la chamade ...

Tu reprends ta conversation téléphonique tout en la laissant entrer, habillée comme elle l’est et  qui ne demande qu’à être caressée  (ce que tu fais un peu mais ta discussion a l’air tendue).

Voilà comment elle est, face à toi, devant ta porte (imagine les coloris et autres détails qui te plaisent)  et son long manteau noir est grand ouvert.

Elle finit par entrer,  pose ses sacs de shopping et enlève ses escarpins. 

Pendant que tu ne rates rien de ses gestes mais sûrement beaucoup de ta discussion ... 

Tu l’invites à aller dans ta chambre directement car tu es aussi en réunion en visio en même temps. 

Tu ouvres la couette comme pour l’inviter à se mettre au chaud et surtout lui dire « j’arrive dès que je peux ».

Tu la touches, l’effleures, la caresses ... tu t’excites mais elle sent bien que ça perturbe ta discussion. Et elle t’invite à filer à ton poste de travail ... tout en caressant ton entrejambe qui est ultra tendue.

Après avoir rempli tes obligations professionnelles, au bout d’un certain temps, tu es revenu dans ta chambre mais elle ne t’a pas entendu arriver. Elle est sur le ventre, allongée dans la diagonale du lit, jambes légèrement écartées, sa fente tournée vers la porte d’entrée de la chambre, la main gauche posée sur la main droite.

Son majeur de la main droite goûtant à son humidité décuplée depuis qu’elle est montée dans l’ascenseur. Son majeur joue profondément comme en témoignent ses fesses qui montent et descendent, ou quand elle enfonce son bassin dans le matelas. Cette vue de sa croupe, en mouvements, est magnifique. 

Pendant ce temps d’observation discrète, limite voyeur, tu te déshabilles et vis avec elle son premier orgasme du jour... entendant son souffle fort avant de revenir plus calme, au fur et à mesure que son corps s'immobilise.

Tu profites qu’elle soit dans cette position pour vite lui procurer son deuxième orgasme : en t’allongeant sur elle et en l’embrassant pile là où tu déclenches la montée au 7e ciel. (C’est curieux mais cette femme est une curiosité : elle jouit quand on l’embrasse dans la zone omoplate-épaule à un point G bien précis mais facile à trouver quand on le sait. Et très surprenant quand on le découvre par hasard.)

Elle monte seule au 7e ciel avec ce baiser bien placé mais sa réaction t’excite d’autant plus que sa prise de plaisir solo t’a carrément excité, juste avant.

Donc elle est prête pour le 3e orgasme que tu vas lui livrer en douceur

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?

Même si tu n’as pas d’ascenseur, même si tu ne travailles pas en visio, tu as une porte d’entrée ...